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10 septembre 2023

Prochaine rencontre en Charente

Joie de redevenir Rupificaldienne le temps d'une soirée à la librairie Trait d'union !

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19 mai 2022

Prochaines rencontres à Caen

 

 

 

Epoque, festival et salon du livre - Caen

 

 

Samedi 22 mai

 

17h30 Débat


Les mondes tsiganes


Avec Paola Pigani (N’entre pas dans mon âme avec tes chaussures, Liana
Levi) et Adèle Sutre (Mondes tsiganes. Une histoire photographique,
1860-1980, Musée national de l’histoire de l’immigration/Actes Sud ;
Géopolitique des tsiganes, Le Cavalier bleu)
Animé par Marylène Carre, journaliste à Grand Format et à la revue
Michel.
« N’entre pas dans mon âme avec tes chaussures », dit le proverbe : on n’entre pas
impunément chez les Tsiganes, ni dans leur présent ni dans leur mémoire…
Pourtant, suite à une rencontre avec la communauté manouche de Charente,
Paola Pigani a su trouver les mots justes pour faire revivre la parole, la
douleur et la fierté de ces hommes et femmes qui, en 1940, considérés
comme dangereux par décret, furent enfermés dans le camp des Alliés
pour six longues années…
Les photographes de l’ouvrage Mondes tsiganes co-dirigé par Adèle Sutre,
eux, ont plus souvent participé depuis les années 1860 à la réverbération des
clichés envers les Bohémiens, Roms ou gens du voyage, et à la construction
d’une identité présentée comme différente et étrangère.
Durée : 1h15, suivi de dédicaces dans le hall.
L’exposition « Mondes tsiganes » sera visible
au Studio 24 le samedi 21 mai de 10h à 19h
et à l’hôtel de ville le dimanche 22 mai de 10h à 19h.
Studio 24, 24 rue de Bretagne

 

Dimanche 23 mai

 

10h Rencontre


Paola Pigani
Écrivaine (La Renouée aux oiseaux, finaliste du prix Apollinaire découverte, et La Chaise de Van
Gogh, La Boucherie Littéraire, Et ils dansaient le dimanche, Liana Levi).


Animée par Nadine Eghels, Textes et Voix.
Née en 1963 dans une famille d’immigrés italiens installée en Charente,
venue à l’écriture par la poésie, autrice de quatre romans, tous publiés chez
Liana Levi, Paola Pigani construit une œuvre à multiples facettes, sous le
signe de la générosité.
Avec Et ils dansaient le dimanche, où elle retrace le destin d’un groupe d’ouvrières
immigrées dans la banlieue lyonnaise des années 30, et le recueil de poésie
La Chaise de Van Gogh (éd. La Boucherie littéraire), Paola Pigani évoque une
nouvelle fois avec une force solaire l’exil, l’enfance, la famille et le travail.


Durée : 1h, suivie de dédicaces dans la salle.
Hôtel de ville, salle du réfectoire.

 

17h30 Débat


Vers la fin de l’hospitalité ?
Avec Fabienne Brugère et Guillaume Le
Blanc, philosophes (La Fin de l’hospitalité.
L’Europe, terre d’asile ? Champs Flammarion),
Camille Gourdeau, socio-anthropologue,
chercheure associée à l’URMIS - Université
de Paris, Affiliée à l’IC Migrations (Revue du
MAUSS, n°53, 2019, p.309-321), Nicolas Klotz,
cinéaste (Les Frontières brûlent, De l’incidence
éditeur/Arte éditions) et Paola Pigani,
romancière (Venus d’ailleurs, Liana Levi).
Animé par Arnaud Wassmer.
Deux philosophes, une chercheuse, un cinéaste
auteur de documentaires, une romancière. Cinq
regards croisés sur la question de l’exil, de
l’accueil de migrants à Ouistreham en passant
par la Jungle de Calais jusqu’au centre de
réfugiés caché dans les hangars de l’aéroport de
Tempelhof à Berlin, à Lampedusa, au Kosovo….
Toutes les civilisations anciennes s’accordaient
sur un point : faire de l’étranger un hôte.
Nous sommes en train de faire l’inverse, de
transformer l’hôte en étranger. Jusqu’à quand ?
Avec le témoignage de Shogofa Arwin, Raha
Sepehr et Maryam Yousefi.


Durée : 1h15 suivi de dédicaces dans le hall.
Cité-Théâtre, 28 rue de Bretagne.

28 janvier 2020

Quelques jours à Metz

lycée hélene Boucher Thionville  janvier 2020.jpglycée de la communication Metz 24 janvier 2020.jpg 2.jpglycée hélène Boucher 23 janvier 2020.jpglycée de la communication 24 janvier 2020.jpg24 janvier Place saint Louis Metz.jpgMetz 2.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Merci aux élèves, enseignantes et documentalistes du lycée George de La Tour,  du lycée de la communication de Metz et  du lycée Hélène Boucher de Thionville.

Merci pour leurs lectures à voix haute, leurs créations visuelles, leurs questions, leurs poèmes, leurs sourcils froncés , leurs sourires...

Merci à l'association Lire à Metz et à leurs  charmantes accompagnatrices Hélène Pochard et  Nicole Becker.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

19 avril 2018

Rencontre à Douai

 

 

Douai.jpg

 

Très belle rencontre  à la halle aux draps  de Douai avec Anne Conti comédienne et Arnaud Van Lancker , musicien tsigane qui nous ont offert une  formidable lecture musicale de Venus d'ailleurs 

Arnaud Van Leker.jpg

 

Van Lancker Anne Conti.jpg

Anne Conti.jpg

23 janvier 2018

Prochaine rencontre dans la Drôme

 

 

Vendredi 24 janvier

18h30  

 

 

MEDIATHEQUE Jacques et Aimé Bertrand

5 bis rue Victor Hugo 

26140 ANNEYRON

 

Médiathèque d'Anneyron, venus d'ailleurs, paola pigani

22 avril 2017

Venus d'ailleurs

 

Pour ceux qui ne connaissent pas encore mon deuxième roman:

https://www.franceinter.fr/emissions/la-prescription-litt...

Merci Patricia Martin!

21:31 Écrit par Paola Pigani dans Des livres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : venus d'ailleurs, liana levi

15 mars 2017

Venus d'ailleurs

 

Où il est question de Venus d'ailleurs paru en poche en mars dans la collection de poche Piccolo des éditions Liana Levi.

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La librairie de l'Express 15 mars 2017

VENUS D'AILLEURS PAR PAOLA PIGANI. LIANA LEVI/PICCOLO, 176 p., 8,50 €.VENUS D'AILLEURS PAR PAULA PIGANI. LIANA LEVI/PICCOLO, 176 p., 8,50 €.

 

Née de parents italiens émigrés en Charente. Enfant, Paola Pigani dévorait Rimbaud, Cocteau, Rilke. Elle a voyagé. Beaucoup. Il lui en est resté des étoiles noires et des soleils bleus au bout de l'imaginaire : des recueils de poèmes en ont surgi, puis un premier roman, N'entre pas dans mon âme avec tes chaussures. Venus d'ailleurs est son deuxième. Pour conter l'odyssée de deux réfugiés kosovars échoués à Lyon au début des années 2000, elle trempe ses mots dans la nostalgie d'un passé titubant désormais sous la terreur. Agite le carillon d'une joie enfantine, tintinnabulant soudain à la sortie d'un labyrinthe de paperasses. Ecoute tomber la pluie amère dans le coeur du sombre Mirko, entend palpiter l'espoir d'un avenir possible dans le français alambiqué de la lumineuse Simona. Mirko et Simona, un frère et une soeur rescapés d'un cauchemar, des étrangers invisibles parmi d'autres, accrochés en nous par la grâce d'une écrivaine qui chante l'exil dans une langue sublime.

S. B

 

 

 

                                        venusd'ailleurspic-express (1)

09:54 Écrit par Paola Pigani | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : venus d'ailleurs, liana levi

02 mars 2017

Venus d'ailleurs

 

Venus d'ailleurs sort aujourd'hui dans la collection Piccolo

 

 

Résultat de recherche d'images pour "venus d'ailleurs paola pigani"

Mustapha Harzoune  a écrit il y a quelques mois un bel article  que j'ai le plaisir de partager ici:

 

1999, Mirko et Simona, le frère et la sœur, débarquent à Lyon, en demandeurs d’asile attirés par la lumière du triptyque républicain. Ils ont fuit la guerre et les persécutions en Albanie. Comme tous les exilés, ils portent le poids des abandons et de la culpabilité. Partir c’est aussi “trahir les siens”. Très vite, ils se débrouillent. S’activent. Chacun avec ses fantômes. Mirko travaille sur un chantier, Babel de l’humanité en bleu de travail. Simona est employée dans un magasin discount. Si la sœur se projette avec frénésie dans l’avenir, le frère reste hanté par le souvenir de son neveu, et par son frère qui a rejoint les rangs de l’UCK. “Moi, je me regarde dans le miroir de la France et je me trouve jolie” dit Simona, quand Mirko s’aventure dans les “zones” tristes et reculées de la ville. Il bombe sa solitude à coup de graffs, “comme des cris qui tiennent sur les murs écaillés”. La friche des graffeurs et muralistes, usines désaffectées et murs à l’abandon, c’est la galerie à ciel ouvert où se figent des mondes disparus, défaits, celui de l’exilé, celui des ouvriers. Simona avance ; et vite. Cache ses souvenirs, dissimule sa tristesse dans une langue qu’elle seule comprend. Mirko, lui, disloqué, traine. Pourtant, magie de l’art, de la littérature et de l’amour, il reste sensible au monde qui l’entoure. Chez Pierre, il rêve devant un atlas. Le libraire lui offre un Prévert, un Cendrars, lui parle de René Leynaud. La poésie comme ouverture à soi et aux autres. Il rencontre Agathe qui, dans une formule shakespearienne, se veut rassurante : “Si je te mords, tu as mal, tu cries. C’est la preuve que tu es vivant. LA PREUVE.” Quand pour Mirko, cette preuve est dans cet amour qui, “le temps d’une étreinte fait oublier l’hiver, les étrangers, la France, l’Albanie, le Kosovo…”.

Venus d’ailleurs n’assène pas de réponses bien ficelées aux questions du moment, mais offre – beauté et hauteur de la littérature – de saisir la part humaine, l’imprévu, de réinventer et pourquoi pas de transfigurer le réel. Cette littérature ne cherche pas à changer le monde. Juste à enrichir les perceptions, élargir les regards, raconter les interstices du monde et sa part rêvée. Elle lave les bouches et les âmes de ce goût de cendres laissé par les mots des phraseurs télévisuels adeptes du chiffre-roi, des bréviaires et des vade-mecum. Paola Pigani raconte sans posture. En douceur, elle façonne, image après image, le tout composite, contrasté de l’exil. Elle n’évite pas les sujets difficiles comme ce passage sur les Roms ou celui sur la concurrence des misères. Malgré les peurs et les ressentiments, il doit rester la solidarité des humbles. Qui plus est à Lyon, l’autre personnage du récit, où sont nées nombre d’associations de solidarité. Paola Pigani multiplie les registres du langage, joue avec les prononciations et les malentendus. Les temps et la conjugaison traduisent les tempéraments. Les mots forment une ligne tendue vers l’intime. Comme ce “revenir” qui chez Mirko “restera un caillou dans son estomac. Un mot sans repos qui ne le laissera jamais en paix.

 Mustapha Harzoune

 Paola Pigani Venus d’ailleurs Paris, Liana Levi, 2015

Revue Hommes et Migrations numéro 1314- 2016

 

couverture de HOMI_1314

02 novembre 2016

Prochaines rencontres en Voironnais

 

 

 

 

 

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Rencontre Comment la littérature s’empare-t-elle de l’actualité ? 

Sam. 5 nov. à 10h30

 

 Gaëlle Josse, Joy Sorman, Céline Lapertot, Béatrice Fontanel et Paola Pigani, animée par Olivier Cogne, directeur du musée de la résistance, chargé d’expositions au musée Dauphinois


> Samedi 5 novembre à 10h30 (Espace Marcelle Boudias - Voiron)

 

 

 
 
 
Et toujours:
 
 
 

Voiron, Voreppe, Paola Pigani, Venus d'ailleurs, Liana Levi, Gilles Vugliano, Paola Pigani, le cœur des mortels, gaêlle Jose, Joy Sorman, Céline Lapertot, Béatrice Fontanel

 

 

 

25 septembre 2016

Prochaine rencontre à Miribel

 

 

 

 

 

 

La ville de Miribel se lance dans l’aventure

et CoLibris a la joie d’y participer !

Venez rencontrer 40 auteurs, illustrateurs… polar, jeunesse, littérature, BD…

Des animations seront proposées aux petits et grands.

Renseignements à la librairie
ou sur  » Des Livres et Vous « 

 

17:17 Écrit par Paola Pigani dans Agenda, Des livres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : miribel, venus d'ailleurs, librairie colibris